samedi 26 mai 2007

Alleeez ! souris !


Imaginez mon ....... sourire ...........lorsque j'ai découvert qu'il existait un Musée du Sourire !!

A visiter et consommer sans modération ! Moi qui suis persuadée qu'un sourire est un passeport universel , je souris aux anges devant la découverte :-)

http://www.museedusourire.com/
et la partie concours de textes junior absolument délicieuse :http://www.museedusourire.com/agence/pls/pls2003.pdf


Et tiré du site :
Comment définiriez-vous le mot « sourire » ?

Le Prix "GRAND SOURIRE" a été attribué à Denis GUIBERTSOURIRE,


n. m. :

1. Au sens propre, c’est un papillon éphémère aux ailes rouges ou roses, reconnaissable à son battement d’ailes furtif, qui aime à se poser sur les plus belles fleurs.

Paul Eluard en décrit le vol dans Capitale de la Douleur : « Sourires parfumés, ailes couvrant le monde de lumière ».


2. Au sens figuré, le mot exprime une apparence de joie ou de malice, retenue ou cachée, comme une fulguration soudaine d’éternité qui irradie un instant un visage, quand il ne le fige pas à jamais dans une mystérieuse espièglerie. C’est grâce au sourire de Mona Lisa que Léonard devint si célèbre et immortel. Si, selon le père de Gargantua, « rire est le propre de l’homme », alors il faut bien reconnaître que sourire est le propre de la Femme.


3. Anciennement, ou poétiquement, on dit plus justement « Souris »; en ce sens il se confond curieusement avec son homonyme féminin qui offre le paradoxe de désigner aussi les dames que bizarrement celui-ci effraie si souvent. Les souris de cette houri vous conduisent tout droit au Paradis. Dans l’argot de Zola, c’est aussi un baiser furtif sur l’œil. La souriante Nana aimait à recevoir de douces souris sur l’œil.


4. Dans la langue galante, il en vient donc par métonymie à désigner plus généralement les représentantes du beau sexe. En lisant le conte du Chat botté, la souris aux beaux souris partait d’un grand fou rire.


5. C’est un élément de formule magique par laquelle les photographes d’autrefois obtenaient, durant les longues pauses, la métamorphose éternelle de leurs tristes modèles humains en de rayonnantes créatures angéliques, souvent en leur faisant simplement prononcer le mot miraculeux justement défini ici. Devant son photographe préféré, la triste cantatrice chauve sourit à la postérité.

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